Projet « Chaleur Humaine »   -   ÉcoSystématica: recherche théorique et appliquée

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But de ce travail: créer une source de chaleur 24/7 sans combustion et peu coûteuse

24/7: pouvant fonctionner 24 heures par jour 7 jours par semaine - l'hiver peut être très rude au Québec, en montagne ou plus loin de l'équateur, ce qui implique qu'une source d'énergie intermittente (lumière solaire ou vent) ne convient pas.

sans combustion: (1) les problèmes dûs à l'augmentation du taux de CO2 atmosphérique sont déjà assez importants sans qu'on les aggrave en brûlant encore plus de carbone fossile et (2) les forêts sont les principaux générateurs d'oxygène et absorbeurs de CO2 sur Terre, les couper pour se chauffer au bois aggraverait l'augmentation du taux de CO2 atmosphérique.

peu coûteuse: au Québec, chauffer sa maison à l'hydro-électricité en 2015 coûte environ 1400 $CAN par an, la chauffer aux combustibles classiques (bois, mazout, gaz naturel) coûte entre 1200 et 2200 $CAN par an et crée une forte dépendance au commerce international; le but de cette recherche est de réduire d'un facteur 10 ou mieux le coût annuel de la chaleur domestique et d'utiliser une partie de la chaleur produite pour générer l'énergie électrique nécessaire pour la maison.

Les recherches sur la fusion nucléaire sont basées sur l'utilisation de hautes températures et pressions, mettant en oeuvre la force nucléaire forte; presque personne ne semble s'intéresser pratiquement à d'éventuels mécanismes de nucléosynthèse mettant en oeuvre la force nucléaire faible et utilisant donc des températures et pressions beaucoup plus basses: quelques chercheurs en parlent beaucoup, certes, mais ils sont rarement pris au sérieux: le "mainstream" des chercheurs continue à les marginaliser, faute de résultats reproductibles.

La force nucléaire faible est la clé des réactions de radio-activité beta et beta inverse. Les MML (neutrinos excités magnétiquements ou Monopôles Magnétiques Leptoniques) pourraient permettre de manipuler cette clé et de provoquer la synthèse de neutrons très froids (= à très basse énergie, donc à section efficace énorme) à partir de protons et d'électrons, c-à-d: à partir d'hydrogène. C'est cette voie de recherche que je tente d'explorer.

Pour tester l'hypothèse 1, il suffit de produire des MML, d'observer leurs traces sur pellicule Rx et de vérifier leurs propriétés décrites par Lochak:

Premier lot de traces de MML sur pellicule Rx
Deuxième lot de traces de MML sur pellicule Rx
Troisième lot de traces de MML sur pellicule Rx

L'hypothèse 1 semble donc confirmée: nous produisons quelques MML en plaçant une betalight dans le champ d'un puissant aimant et nous obtenons sur nos pellicules pour rayons X le même genre de traces étranges que Lochak, Uruskoev, Daviau et d'autres ont documenté

Ce que nous savons et ce que nous observons au sujet des MML

Prochaines étapes de ce travail


Pour tester l'hypothèse 2, revenez voir plus tard...

Work in progress - En chantier